Sandra Kalniete, députée européenne de Lettonie,
Groupe du Parti Populaire Européen (Démocrates-Chrétiens), ex-ministre des Affaires étrangères est ici interrogée par Caroline de Camaret (France 24) et Fréderique Lebel (RFI), en partenariat avec la fondation Robert Schuman pour l’émission ICI L’EUROPE.
Née au goulag le 22 décembre 1952 à Togour dans la région de Tomsk en Sibérie soviétique où sa famille a été déportée, Sandra Kalniete, grande figure de l’indépendance lettone, revient sur la Journée des droits des femmes et critique les institutions européennes qu’elle juge "encore trop sexistes".
Son enfance a été racontée dans le livre biographique « En escarpins dans les neiges de Sibérie » : Mes parents n’ont pas voulu offrir d’autres esclaves au pouvoir soviétique, je n’ai eu ni frère ni sœur. Nous sommes rentrés en Lettonie le 30 mai 1957.
De 1987 à 1988, elle fut secrétaire-générale de la Société des Artistes lettons et embrasse la carrière diplomatique à partir de 1990. Elle est membre du conseil d’administration du think tank Les Amis de l’Europe, elle est également conseillère du think tank : la Fondation pour l’innovation politique [1]
- Sandra Kalniete, alerte sur les convoitises baltes de Poutine
- Chanson pour tuer un géant : la chute de l’empire soviétique.
- Une Voie Balte au Parlement Européen :discours de Madame Sandra Kalniete
- Le site web de Sandra Kalniete http://www.kalniete.lv
- Archives européennes du goulag
- Suivre Sandra Kalniete sur Twitter : @Kalniete
http://medias.france24.com/fr/vod/2013/03/09/TK022228-A-01-20130307.mp4
Archives sonores - Mémoire européenne du goulag.
http://museum.gulagmemories.eu/site...
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"En-escarpins-dans-les-neiges-de-Siberie"
« La tragédie de sa famille symbolise celle de sa terre. Édifiant. »
Le Nouvel Observateur
« En racontant avec des mots simples la lutte pour la survie des prisonniers du goulag, Sandra Kalniete signe un livre touchant sur le destin tragique de sa famille avec en toile de fond l’histoire tourmentée d’un petit pays [...]. Un livre pour donner vie à cet État ignoré. » Libération